mercredi 14 avril 2010

Miroir, fenêtre, néologismes

Par la fenêtre, le vent voltigeaille. Des oiseaux, gris, blancs, noirs, s’indolentent. Et deux épinettes de désembrassent bon gré mal gré. La baie, elle, derrière la télé fermée, s’engrise, comme moi. La nature se pose comme un miroir oscillant d’émotions coudevents.

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