samedi 20 juin 2009

un nouveau message. on veut bien. mais quoi? forcer l'écriture? et encore tergiverser beaucoup d'encre un peu partout comme pour?

mieux vaut, souvent, ne rien dire, pour pouvoir changer de sujet quelqu'un, et se donner l'impression de, au lieu que glande le lecteur intérieur, sur une mer futile, lui qui potentiellement s'ancrera à autre chose que des mots vagues, de l'embrun de rien dans le toupet, sur une métaphore filée sans voile et virgule surtout virgule de l'aspiration au désert pour briser la monotonie.

pouah!

lundi 1 juin 2009

un autre blues

Et je vais dormir en cuiller avec mon ordinateur portable.

après le jour "J"

- Sergent?
- Oui, soldat Francoeur.
- Nous sommes le premier juin, Sergent.
- Et alors? Dans un an, jour pour jour, nous y serons encore, soldat Francoeur.
- Oui, Sergent, mais...
- Mais?
- Pardonnez-moi Sergent, je suis déstabilisé par votre...
- ...
- ...
- Ma perspicacité?
- C'est ça, Sergent.

boire tes paroles

Tu m'embarrasses trop et m'éteins :
De tout et de rien, tu parles, tu parles.
Et après tu te plaindras que ton thé est froid...

* * *

Tourne donc ta langue cette fois.